Climat

En créant Smash, nous avons souhaité simplifier la vie à des milliers de personnes, en France et tout autour du globe, en leur offrant une solution à la fois simple, sécurisée et (super) performante. Très rapidement, nous nous sommes rendu compte de l’utilité de Smash en tant que service français de transfert de fichiers, mais surtout de son rôle à tenir. Et de son impact.

Oui, disons-le, assumons-le. Smash, en tant que service de transfert de fichiers, exclusivement numérique, est un problème vis-à-vis de la crise climatique que nous traversons.

Le numérique représente 4% des émissions de gaz à effet de serre mondiales, un chiffre qui pourrait doubler d’ici 2025.

On dépose ici notre bilan carbone !

Une étude pour mesurer notre impact environnemental

 
En 2022, les transferts de ficher par Smash ont généré 98 tonnes de CO2.
 
 

Alors, est arrivé le jour où on a décidé de mettre des chiffres sur des maux. Pour cela, on s’est associé à Utopies. Créée en 1993 par Élisabeth Laville, Utopies est la première agence française indépendante de conseil en stratégies de développement durable, reconnue notamment pour son expertise sur les études d’impacts socio-économiques et environnementaux.

Au travers de cette étude en collaboration avec Utopies, nos objectifs et engagements sont :

- identifier les différents postes d’émissions du service Smash

- évaluer les émissions de gaz à effet de serre générées par le service Smash

- comparer l’usage du transfert de fichiers par Smash avec un envoi par e-mail

Les différents postes d’émissions identifiés sont, entre autres, les émissions liées au stockage des données dans les data-centers et celles liées à l’envoi et à la réception des données au niveau des infrastructures réseaux ainsi qu’au niveau des serveurs informatiques.

À l’aide d’un outil de calcul, Utopies a pu mesurer les émissions de gaz à effet de serre de la solution Smash. Le résultat : en 2022, les transferts de fichiers par Smash ont généré 98 tonnes de CO2e. 98 tonnes, vous avez bien lu. Ce n’est pas négligeable…

L’étude d’Utopies a permis de comparer les émissions des transferts de fichiers stockés de manière éphémère sur Smash, aux pièces-jointes des emails.


Si tous les transferts de taille inférieure à 25 Mo avaient été réalisés par e-mails avec pièces-jointes, cela aurait généré 14,2 tonnes de CO2e. En comparaison, Smash a émis 1,4 tonnes de CO2e pour ces transferts, soit une réduction de 90% des émissions.

Concrètement, qu’est-ce que cela veut dire ?

Ces émissions évitées sont équivalentes à 1 248 000 heures (environ 142 années) de visionnage de streaming vidéo ou la fabrication de 226 iPhones Xs. 1 248 000 heures de visionnage de streaming vidéo, ça fait un bon paquet de soirées de binge watching. Tous les utilisateurs de Smash ont contribué à éviter toutes ces émissions de CO2e en 2022.

Ce n’est pas une victoire, mais c’est déjà ça. Utiliser Smash, c’est réduire les émissions de CO2 en comparaison à un e-mail avec pièce-jointe, si toutes les entreprises françaises adoptent le réflexe Smash pour envoyer leurs fichiers. Un effort collectif en faveur de la réduction de l’impact environnemental du numérique.

 
 

Une preuve que, malgré l’impact du numérique, il existe des alternatives numériques qui offrent la possibilité au quotidien de réduire cet impact. Favoriser Smash pour l’envoi de fichiers en fait partie.

 
 

Notre engagement pour réduire nos émissions de co2

 

Désormais, l’heure est à l’action. Pour réduire ces émissions, nous nous engageons à mettre en ligne très prochainement 4 nouvelles fonctionnalités permettant de réduire notamment le stockage des données sur les serveurs :

 
 

1

La suppression automatique d’un transfert en fonction d’un nombre de téléchargements.

2

La réduction de la durée de validité d’un transfert par défaut.

3

La possibilité de désactiver l’envoi d’e-mails relatifs à l’activité du transfert.

4

Le mode sombre afin d’éviter la consommation d’énergie engendrée par les couleurs sur le site web.

 

Le chemin est long. Ce n’est que le début de notre démarche en toute transparence, dans un but d’amélioration constante.